Damien lerasle : Midi Libre et Le Berry mis en examen pour diffamation publique

damien lerasle

damien lerasle

 

DEUXIEME  EPISODE

l’empressement des institutionnels

 

Et si les journaux nous mentais ? Le midi Libre ? Pourquoi es toujours le mec même journaliste qui rédige les articles sur le zoo de saint Thibery ? Pourquoi ce même journaliste est très proche avec un des directeurs du zoo, pour qui profiterai la destitution de Damien lerasle ou la fermeture du zoo ?? 

 

Savez vous qu'a l'issu des articles du Midi Libre et du Berry Républicain les journalistes rédacteurs ont été mis en examen pour diffamation publique ? 

 

Tous les institutionnels, politiques en tête, se jettent sur ce projet et ses créateurs.

C’est la course à l’échalote, c’est à celui qui promettra le plus, qui en fera le plus pour pouvoir en tirer les bénéfices électoraux.

« Ce petit jeunot de 21 ans qui a, non seulement un projet génial, mais aussi des moyens financiers soutenus par un grand patron national, on va l’aider, le « driver » comme il se doit ».

Après être passé par la case « Béziers Initiative » avec un business plan bien construit, bien équilibré,qui permet d’obtenir un prêt d’honneur de 15000 € (remboursable), les institutionnels politiques sont unanimes pour confier la gestion de la création d’entreprise à la CCI de Béziers qui doit porter « le projet ».

Et c’est là qu’apparaît la première FAUTE LOURDE.

Le responsable de la CCI en charge du dossier explique à Damien que son projet initial, pourtant validé par Béziers Initiative, n’est pas suffisamment important, étoffé, pour pouvoir bénéficier de toutes les aides financières institutionnelles; le premier projet portant sur un peu plus d’un million d’euros avec un apport personnel en cash de 400 000€ doit passer à 3 millions d’euros avec un apport personnel de 800 000 €.

 

IMAGINEZ !!

Vous venez avec le projet de créer une épicerie Bio, les institutionnels, les politiques vous proposent de créer un Hyper Marché, vous promettent de vous accompagner, mettre en oeuvre l’assistance professionnelle nécessaire à la réalisation du projet et, bien sûr, les financements et subventions généreuses. De quoi faire rêver le jeune créateur !

Le problème, c’est du vent! Les promesses des politiques n’engagent que ceux qui y croient et le jeune amoureux des oiseaux va en faire la dure expérience car il les a cru.

 

Il faut savoir que Damien et Philippe qui ne sont pas de familles aisées vont tout sacrifier pour pouvoir monter leur projet; à 400 000 €, ils étaient à leur maximum. Heureusement, avec le concours financier du PDG de « Vuitton », Damien et Philippe réunissent les 800 000 € nécessaires, en échange de quoi, la Région, le Département et l’Agglo confirment que, dans ce cas, on pourra espérer près de 500 000 € d’aides publiques.

Sur de telles promesses, Damien, Philippe et Yves décident de développer le projet à 3 M€, d’autant plus que l’Agglo assure de son soutien maximal  dans la mise en forme et mise en oeuvre du projet; Une étude prévisionnelle est effectuée par un expert-Comptable réputé de Montpellier qui met en évidence le parfait équilibre du plan de financement, en s’appuyant à la fois sur l’apport en fonds propres confortable des créateurs et des aides promises par la Région et le Département.

 

Tout serait dans le meilleur des mondes sauf si le responsable de la CCI qui a fait enflé le projet à 3 M € se mettait à trainer les pieds dans ses contacts avec la Région et, finalement, refusait de porter le projet, pour des raisons non communiquées, ce qui, de fait, paralysait les aides institutionnelles comme cela avait été prévu à l’origine.

 

On aurait pu imaginer que, compte tenu de l’avancement du projet et de l’urgence de ne pas retarder les travaux d’aménagement ( n’oublions pas qu’il s’agit d’un zoo et qu’il y a des animaux dont il faut s’occuper, quoique il arrive et tout retard est préjudiciable), la Région et le Département auraient pu confirmer les aides qu’ils avaient promises. Ce ne fut pas le cas et les aides promises n’ont JAMAIS été ni signées, ni versées.

 

Comment se fait-il que Pierre AMARGER, journaliste à Midi Libre qui a écrit plusieurs articles sur la situation du zoo-parc Val d’hérault, titre son article du 10 janvier 2016 : « 495 000 € de la Région pour le zoo Val d’Hérault »? « Les élus avaient accordé un prêt et une subvention aux dirigeants du parc qui n’aura ouvert qu’une année ». Pierre Amarger, sans vouloir citer les noms de ses interlocuteurs ( pour quelles raisons ne le fait-il pas ?) laisse entendre par ses écrits qu’il s’agit d’élus locaux.

Pourquoi un tel mensonge ? une telle tromperie des lecteurs de Midi Libre ?

Il serait souhaitable que Midi Libre s’explique et fasse un rectificatif.

 

Le comportement SCANDALEUX de la CCI constitue la première torpille du Zoo Val D’Hérault.

Sans son action, un projet, plus modeste, aurait, probablement, vu le jour et il aurait pu se développer par la suite, à un rythme correspondant au développement du zoo-parc. Nous aurons l’occasion ultérieurement de revenir sur le rôle de la CCI auprès de banques qui ont contribué au financement du projet.

 

A ce stade du récit, nous tenons à préciser que nous ne connaissons pas personnellement les institutionnels auxquels nous faisons référence et, par conséquent, nous ne portons aucun jugement sur leurs intentions et leur volonté d’aider ou de nuire ; est-ce par maladresse, incompétence, mégalomanie ou volonté de nuire, nous ne le savons pas et ce n’est pas à nous de juger; d’ailleurs la Justice s’en charge et c’est son rôle! c’est pour cela que nous ne citons aucun nom.

Nous nous contentons de faire des constats, d’essayer de les vérifier - ce n’est pas toujours facile car, lorsque les gens sont de grands malins, ils font en sorte de ne pas laisser de traces de leurs méfaits - Quand on ne peut pas vérifier certaines exactions, nous emettons des hypothèses, en général, les plus probables dans l’objectif de définir un « faisceau de présomptions » en s’appuyant sur des pratiques généralement reconnues.

 

Malgré le retrait inconsidéré des aides régionales, le projet, même à 3 M€, avait toutes les chances de réussir car ce zoo-parc Val d’Hérault attirait un grand nombre de visiteurs grâce à sa diversité et l’importante population touristique de la région agathoise.

Malheureusement, il y eut le rôle catastrophique de l’Agglo que nous essaierons d’expliquer dans le prochain épisode.

 

 

 

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